Le principe d'Ockham
Catégories : Anaplan, Comparatif logiciels
Tags : Anaplan, Comparatif logiciel
Bonjour,
Le principe d'Ockham (ou d'Occam) est un des principes fondamentaux de la science. Il énonce que plus une solution à un problème est simple, plus la solution a de chance d'être la bonne.
Une autre formulation est que « les hypothèses les plus simples sont les plus vraisemblables », autrement dit, si il existe plusieurs solutions à un même problème, et que toutes les solutions résolvent ce problème, c'est la solution la plus simple qui non seulement est la meilleure mais surtout qui est la plus proche de la vérité, qui reflète le plus fidèlement ce que doit être la réalité.
Appliquons ce principe au monde du logiciel de BI et d'élaboration budgétaire.
Pour un applicatif sous TM1 ou sous Cognos Express, l'entreprise a besoin de :
- TM1 architecte
- Turbo Integrator
- Contributor web
- Console d'administration de Contributor
- Cognos BI Framework Manager
- Report Studio
- Query Studio
- Analysis studio
- Serveur web
- Serveur base de données (un ou plusieurs)
- Serveur d'application (un ou plusieurs)
- Serveur IIS
- Chef de projet
- Directeur de projet
- consultant technique pour l'installation
- consultant BI
- consultant technique TM1
- lourde phase de spécifications détaillées
- formation à un langage
- respect de règles contraignantes (feeders, scripts, ordre des dimensions dans les cubes, découpage et taille des cubes, ...)
Pour le même projet sous Anaplan, l'entreprise à besoin de :
- navigateur internet au choix : Firefox, Chrome, Safari, IE, ...
- consultant fonctionnel métier
Le principe dOccam tranche nettement en faveur d'Anaplan, qui apparaît dix fois plus simple et 10 fois mieux adapté.
Il est intéressant de noter que ce principe date de l'An 1300, (Ockham vécu entre 1285 et 1347) mais que la science continue à l'utiliser aujourd'hui. Aucune technologie datant de ces années là n'est encore utlilisée aujourd'hui.
Les technologies sont remplacées dès qu'elles deviennent obsolètes.
Mais les principes eux, demeurent pérennes.
Bien cordialement.
Michel Maurel