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Une évolution réussie demande de respecter 3 conditions : intégration, création, transcendance. Cet article examine les évolutions informatiques à la lumière de ces conditions de succès, et expliquent pourquoi (sur le log terme) certaines évolutions sont un succès, comme Anaplan ou le Tableur, et d'autres sont appelées soit à disparaître soit stagner, et sont en fait une impasse de l'évolution (Olap).

PwC forecast at Sochi2014 ranking and numbers of medals proved fully wrong. What can we learn from this failure in terms of Planning and Forecasting ?

A fairy tale I wrote about a competition between 4 woodcutters to illustrate the technological gap between Anaplan on the winner side, and TM1 Hyperion and BPC on the looser side. Un conte de fée que j'ai écrit pour illustrer l'incroyable supériorité d'Anaplan sur TM1, Hyperion et BPC. Les mots sont venus... en anglais. J'écrirai une version française d'ici peu.

Les 4 raisons qui font que les vieux logisaures continuent à exister sur le marché.

Impossible de limiter Anaplan à une solution de modélisation budgétaire (Aviva), parce qu'Anaplan est tout aussi à l'aise avec les prévisions détaillées de ventes par vendeur et par client (HP). Impossible également de limiter l'outil à la modélisation opérationnelle métier (Diageo), parce qu'Anaplan permet facilement d'établir des tableaux de bord et des suivis de KPI en temps réel (BagTrans). Ce n'est pas non plus uniquement une solution de valorisation et de calcul des commissions des vendeurs (Mc Affee), ni une solution permettant d'établir des devis de manière interactive et en temps réel (McAffee encore), parce qu'Anaplan permet tout aussi bien de réaliser sa consolidation légale et statutaire (Anaplan Apps). La meilleure définition que nous pouvons trouver pour qualifier Anaplan est : la solution à tout problème que l'entreprise n'a pas soit jamais pu informatiser jusqu'à aujourd'hui, soit qu'elle n'a jamais pu informatiser jusqu'ici de manière satisfaisante pour les utilisateurs.

Ne migrez pas vers Cognos 10. Migrez vers Anaplan. C'est moins cher, plus rapide, et c'est d'actualité. Cognos 10, c'est déjà le passé.

Pour illustrer l'évolution des technologies, je compare souvent l'évolution des logiciels de BI avec celle des téléphones. Il y a 6 ans, Nokia était le numéro 1 du téléphone portable. Blackberry a également eu son heure de gloire en misant volontairement sur un positionnement différent. En 4 semaines, exit Blacberry et exit Nokia. Ils ont manqués le virage du smartphone, ils n'existent plus. Restent Apple, le pionnier suivi puis dépassé par Samsung (pour les téléphones, pas pour les tablettes), Sony (qui a très tôt abandonné son propre système d'exploitation pour adopter Androïd), HTC, etc... La question du jour est : la suite Cognos IBM va-t-elle suivre l'exemple de Samsung ou celui de Nokia ?

Les évolutions du reporting nous conduisent à abandonner les outils du passé pour retenir les outils du présent et du futur. Le reporting est passé du domaine de la photo passive à celui du film dynamique et interactif.

En plus du riche choix des possibilités de jeux de couleurs à utiliser selon les indicateurs, l'utilisateur va choisir les fourchettes de montant maximum et minimum qui vont faire varier l'intensité des couleurs. Par exemple, si on choisit d'utiliser du rouge pour les montants défavorables, la palette de rouge utilisée va varier du rose très pâle, pour les petit montants, à un carmin vif écarlate pour les montants les plus importants.

Quelle est la part de responsabilité du logiciel dans les échecs des projets budgétaires ? J'apporte quelques éléments de réflexion...