Réflexion sur les causes d'échec des projets budgétaires

Article publié par Michel Maurel le 26/01/2013 à 05:48
Catégories : Anaplan, Comparatif logiciels, Cognos Planning
Tags : Anaplan, Excel

Bonjour

Dans l'ancien temps, la réussite d'un projet dépendait de critères tels que l'implication des équipes, la compétence de l'intégrateur, le pilotage du projet, en plus des fonctionnalités du logiciel et son adéquation par rapport aux besoins fonctionnels.
 

Depuis Anaplan, il est devenu très compliqué d'échouer : il faudrait vraiment vouloir saboter le projet, viser sa ruine... et encore, je ne suis pas certain qu'on y arrive.

 
Il a fallu plusieurs mois voire plusieurs années à partir de janvier 1979, quand le premier tableur est né, pour que les informaticiens puissent simplement croire et comprendre qu'il était possible d'insérer une ligne ou une colonne dans un état et que les calculs continuent à s'effectuer correctement.

Avant 1979, insérer une ligne, une colonne, ou une plage de cellules dans un état, et que tout se recalcule de manière instantanée, c'était impossible ! Il fallait obligatoirement plusieurs jours ou plusieurs semaines de développement pour faire ça.

Aujourd'hui, insérer des lignes, des colonnes et des cellules est une opération aussi simple que boire un verre d'eau.
 

C'est la même chose entre Anapan et les autres logiciels. Nous sommes tellement habitués à toutes les contraintes de Cognos Planning, TM1, Essbase et autres, qu'il est impossible pour beaucoup de gens de croire qu'il puisse exister une solution aussi rapide, simple et efficace.

 

Seule une démonstration Live permet aux clients de réellement comprendre les différences. Là, devant vous, on ouvre le moteur et on créé un modèle, votre modèle, à partir de la boite vide. On s'interdit de vous présenter un modèle fini qui aura été développé en dur et en cachette pour masquer la complexité du moteur.

Et puis, toujours devant vous, on fait évoluer le modèle pour simuler les modifications qui interviennent en cours de projet, parce qu'un besoins qui n'évolue pas en cours de projet, ce n'est pas un projet budgétaire.
 

C'est la seule et unique manière de réellement décider : vous voyez tout de suite les limites et les contraintes du logiciel, ou l'absence d limite et l'absence de contraintes.

 

Avec Anaplan, on n'a même pas besoin de construire le modèle devant le client : on le fait construire directement par le client lui-même, lors de la toute première présentation. Comme ça, on gagne du temps sur le projet, puisque la formation débute lors de la toute première démo avant vente...

 

Anaplan existe déjà par lui-même, au même titre que les autres solutions du marché. Mais il existe dans un écosystème, alors je le décris par rapport à cet écosystème.

 

A la fin du Crétacé, les premiers mammifères agiles et flexibles se sont insérés dans l'écosystème des dinosaures en voie d'extinction. Ils n'ont pas pu créer tout de suite leur propre écosystème.

 

Ce sont nos schémas mentaux qui nous poussent à comparer les logiciels entre eux. Alors je les compare. Mais dans les faits, il y a un univers d'écart.

Le même écart qu'entre une feuille de papier et Excel. 

J'espère qu'il ne faudra pas plusieurs années pour que nos schémas mentaux s'habituent. La situation économique des entreprises ne leur permet plus de perdre du temps et de l'argent à installer des solutions désormais obsolètes qu'elles vont devoir supporter et subir pendant 5 ou 10 ans alors qu'il existe aujourd'hui une solution infiniment plus adaptée à leur besoin...

 
Bien cordialement.
Michel Maurel.
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